vendredi 18 mars 2016

Chronique classique: Macbeth de Shakespeare

Bonsoir mes choux ! Ca fait un petit moment que je n'avais rien posté mais il fallait que je règle quelques petites choses de mon côté et que je change le rythme du blog. J'avoue que si je continue au rythme annoncé dès le départ, ce serait vite le désert niveau des chroniques. Je n'ai pas autant de temps que je voudrais pour lire, d'autant plus que, comme tout le monde, j'ai aussi des moments où je lis moins que d'autres.
Donc si vous n'êtes pas au courant sachez qu'il y aura une chronique par semaine, ça s'alternera entre chronique classique du vendredi et chronique normale du mardi.

Revenons à la chronique d'aujourd'hui de la langue anglaise.



MACBETH de Shakespeare



Mes impressions:

Oui pas de résumé pour aujourd'hui car ça fait un petit moment que je l'ai lu et que j'aurai dû mieux le relire pour mieux comprendre.
Car oui, j'ai l'oeuvre dans une édition qui me présente le texte en vieil anglais et l'autre page le texte traduit. Du coup je me suis beaucoup penchée sur le texte original pour essayer de décrypter le vieil anglais et voir les tournures d'usage de l'époque. C'est ce qui est intéressant d'ailleurs ! Avoir le texte original et sa traduction dans un seul et même livre ! Si l'on s'y connais un tant soit peu en anglais on peut vite voir par quoi ça a été traduit, si l'on aurait fait pareil ou alors trouver le sens que voulait donner Shakespeare. Les expressions qui diffèrent énormément des nôtres aussi sont intéressantes à voir.

Mais passons le passage linguistique qui m'attire, parlons un peu plus de l'histoire. Même si j'en ai peu de souvenirs, je me rappelle parfaitement des sorcières présentes. Je n'avais pourtant rien trouver de magique dans le récit et pourtant si, comme quoi j'aurai dû le relire ^^. Ces parties-là semblait être chantées, si je me souviens ce devait être le cas...

Outre les sorcières et leurs prophéties, Macbeth est un affreux personnage. Il commet des crimes pour arriver à être roi et se fait tout de même tuer. L'oeuvre est emprunt de morts violentes et de sang et pour cela Macbeth perdra la vie, ultime combat et projection de sang avant le rideau final.

On peut se poser des questions, du genre "Si les sorcières n'avaient rien dit à Macbeth, y aurait-il eu autant de morts ?" ou encore "Si la femme de Macbeth n'avait pas poussé son mari au régicide, aurait-il lui-même pensé à prendre cette voie sanglante ?". Bien sûr, sans cela il n'y aurait peut-être pas eu d'histoire ou bien serait-elle très différente et donc différente du style de l'auteur. Mais ce grand classique de la langue anglaise vaut bel et bien un grand classique de la langue française, bien sûr la comparaison est faite avec Molière et je ne peux que approuver. L'approche du théâtre est assez similaire pour les deux, ce qui me fait sourire quand on sait que c'était deux pays très différents et que les auteurs ne se sont pas rencontrés.



Voilà pour ce soir mes choux, c'était peu et certainement était-ce une pauvre chronique décousue, j'en suis navrée. La fatigue se fait sentir, j'espère tout de même que ceux qui aiment les auteurs anglais se pencheront un peu sur Shakespeare. Pour ma part ce fut la curiosité de lire au moins un de ses écrits (bon et parce que petite j'étais fan de la comédie musicale Roméo et Juliette... Fallait bien que je lise le texte de base !). Bonne nuit mes choux et lisez bien !

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